Sugarcult

Sugarcult ne suit pas les règles. Depuis la sortie de leur 1er album officiel Start Static en 2001, le quartet de Santa Barbara reécrit le livre sur comment réussir dans le nouveau monde de post-millennial rock & roll.

Amenant leur characteristique ‘fais le toi même” aux limites, ce groupe a présenté leur cas directement au peuple. Voyageant partout dans le monde pour 2 ans sans arrêt et faisant des centaines de concerts, le groupe a partagé la scène avec des groupes comme Good Charlotte, The Hives, The Ataris, The Vines, Sum 41, Blink 182 The Strokes, et Jimmy Eat World. Ils ont aussi été sur la scène principale de festivals comme Warped aux U.S., Glastonbury, Reeding & Leeds au Royaume-Uni et Summer Sonic au Japon.

Sur le chemin le groupe a retrouvé des fans par des radios de rock moderne et MTV2, et a gagné le respect dans des magazines comme Alternative Press. Kerrang a constaté que le groupe livre la musique “la manière dont elle devrait être joué: fort, coloré et plus grand que la vie”.

L’énergie et attachement Sugarcult ont mis dans Start Static a créé un fanbase massive, tout autour du monde, vendant presque la moitié d’un million de copies – 300 000 unités aux Etats-Unis seul. Sur leur nouvel album produit par Gavin MacKillop, Palm Trees and Power Lines, le côté plaintive qui se cachait en dessous de la surface des chansons du chanteur/guitariste Tim Pagnotta est maintenant bien présent. Le nouveau matériel a une intensité émotionelle qui va avec la secousse musicale électrifiant du groupe. Sugarcult est représentative de la Californie, et les 12 chansons du nouvel album jouent contre le contexte de la beauté et laideur de la Californie, son idylle et réalité; documentant un voyage physique et psychologique qui commence et finit sur le bord de la Pacifique.

Le groupe s’est formé en 1998, commençant avec Pagnotta, qui après une enfance nomadique a recontré le bassiste Airin et le premier batteur du groupe Ben Davis au City College à Santa Barbara. Ensuite peu après, Sugarcult à joué leur premier concert en première partie de Superdrag à un club local. A ce concert se trouvait Marko 72, un “scenester” qui avait joué de la basse dans le groupes de punk; The Ataris, The Swingin’ Utters et Nerf Herder (en même temps qu’il dirigeait un label indé, animait une émission radio chaque semaine, travaillé dans un discaire et écrivait pour un tabloid chaque semaine). Tim et Marko ont trouvé qu’ils aimaient les même groupes, de Elvis Costello et The Clash, à Nirvana et Green Day et bientôt Marko jouait la guitare dans ce groupe.

Après avoir gagné de la notoriété dans la scène musicale de la côte centrale, les mecs ont amené leur camionette vers le sud sur le 101 et ont commencé leur mission de conquérir les environs très compététives de Californie du Sud. “On utiliseré l’argent que nous avons reçu avec nos concerts remplis à Santa Barbara pour subventionner nos désâstres totales à une centaines de km. Mais nous avons rapidement developpé un fanbase et ça avait l’air vraiment naturel et non fabriqué” dit Marko.

Immédiatement après avoir completé Start Static avec le producteur Matt Walace, Sugarcult ont pris la route comme les nouveau kids du Warped Tour 2001. Le groupe inconnu est si bien passé que ce qui était une fois, 2 semaines s’est prolongé pour le reste de la tournée de 2 mois, et ils sont revenus l’été d’après. Ainsi les graines ont été semés, cela a amené Sugarcult sur une tournée après l’autre – resultant avec un fanbase rabique. C’est une phénomènre qui a moins à faire avec la radio et plus avec le resultat direct d’un véritable bourdonnement complètement organique.

Maintenant, avec plus de 3 ans d’éxperience, Sugarcult (avec l’addition récente de Kenny Livingston pour remplacer Ben Davis l’ancien batteur) a livré un album avec immense promesse. Quand le temps est venu pour écrire le nouvel album, les chansons sont venues rapidement, étant filtré dans la tête de Pagnota pendant ses voyages. “nous avons joué plus de 300 concerts et nous avons voyagé le monde plusieurs fois – d’où tant d’éxpériences et émotions ont évolué. Toutes ces nouvelles chansons ont été écrites un mois après que nous sommes rentrés d’une tournée. Il était juste une question de retrouver les moments et souvenirs pour après recréer le sentiment.” “Les thèmes sont un peu plus obscures,” rajoute Marko, “et Tim s’ouvre vraiment.”

Sur l’incontestablement entraînant “Memory”, le groupe sans effort plonge dans une des thèmes qui leur ont fait un groupe tellement important pour leurs fans – l’amour qui se tient à un fil. Les chansons “Crying” et “Over”, recherchent une petite ou faible affirmation parmis les débris de rêves romantiques brisées. “Back to California” encapsule la charge utile dramatique de l’album dans un récit vif (“Drive all night to hold you tight/ Back to California/We couldn’t win in the end” – Conduit toute la nuit/ De retour en Californie/ Finalement, nous ne pouvons gagner).

“Ces chansons sont des documents à jour de nos vies sur les 2 dernières années,” dit Marko. “Nous sommes plus confiants en tant que musiciens, et nous sommes plus confiants dans nos idées – parce que, quand tu te mets faire quelque chose contre toutes les chances, et ça marche, ça renforce ta résolution. Cela te donne confiance pour prendre plus de risques, de continuer à faire ce que tu faisais sans t’éxcuser, et foncer.”

Sugarcult ont fait monter les enjeux avec un album musicalement et émotionellement résonnant qui marque l’arrivée d’une âge d’un important nouveau groupe avec quelque chose à dire et ce qu’il faut pour le livrer avec une vengeance. Il n’y a pas d’abandon ou de compromis avec ce groupe. Habituez vous à avoir Sugarcult par ici, parce qu’ils ne sont pas prêts à partir.